Мы любим наш город и готовы поделиться своей любовью с его гостями. Как важно уметь рассказать о Волгограде не только на русском языке, но и на языке иностранном. Проект «Наш Волгоград» выполнен на французском языке. Он повествует о возникновении города-крепости на берегу Волги – о Царицыне. В проект вошли материалы о битве под Сталинградом.
статья Селявкина Н.Н. Волгоград.docx
ПРОЕКТ «НАШ ВОЛГОГРАД»
Автор: Селявкина Наталья Николаевна, учитель французского языка
МОУ Лицей №9 г.Волгограда.
Мы любим наш город и готовы поделиться своей любовью с его гостями. Как важно
уметь рассказать о Волгограде не только на русском языке, но и на языке иностранном.
Проект «Наш Волгоград» выполнен на французском языке. Он повествует о возникновении
городакрепости на берегу Волги – о Царицыне. В проект вошли материалы о битве под
Сталинградом. С особой гордостью рассказывают жители Волгограда о современном
городе. Страницы экскурсии посвящены культуре, экономике, промышленности города.
Мы подобрали фотоматериалы о парках и улицах, театрах и музеях родного города.
Крепкая дружба всегда связывала французский и русский народы. Великие общественные
деятели, представители культуры России придавали большое значение укреплению и
развитию отношений с великой Францией. Дружба эта прошла проверку во время тяжелых
испытаний.
Одно из них – война. Судьбам наших соотечественников в грозное военное время
посвящена экскурсия по нашему городу на русском и французском языках, которая была
подготовлена к 70летию победы в Великой Отечественной войне.
La colline Mamaïev est connue non seulement en Russie, mais dans le monde entier
comme un symbole de force, de courage et d'héroïsme dans la grande lutte contre l'esclavage
fasciste. Nous pouvons dire beaucoup de beaux mots inspirés, mais il ne suffira pas. Seulement
une gratitude à ceux qui se trouvent sur ce monticule peut être la douleur pour ceux qui n'ont pas
retourné, un sentiment de tristesse avec ceux qui attendaient et n’ ont pas attendu.
La colline Mamaïev est une hauteur principale de la Russie. Le 15 octobre 1967 a eu lieu
l’inauguration solennelle de cet ensemble mémorial. Le groupe de l'auteur a été mené par Eugène
Vutchetitch, peintre soviétique, sculpteur. Il travaillait avec les 10 autres personnes sculpteurs
et architectes. Les plusieurs proposaient de ne rien toucher, laisser tout comme est là: les
tranchées détruites, des bunkers, des cratères. Mais après des années, tout se couvrira de l'herbe
et la mémoire aussi. Ce plan de Vutchetitch pour la construction du mémorial a soutenu le
maréchal Vassili Chuikov. Il est également enterré ici, à la colline Mamaïev, avec ses soldats. L’
ensemble mémorial. s’ouvre par le hautrelief " La mémoire des générations." Cette composition
mesure 17 mètres de long, 8 mètres de haut,3 mètres de large, elle représente 11 figurations de différents âges, nationalités qui viennent avec des couronnes et des fleurs pour saluer les
défenseurs de la ville. A droite de cette composition, à l’ entrée de l’ ensemble de la colline
Mamaïev, sont disposes des blocs de granit dans lesquels sont scellées des capsules contenant de
la terre des VillesHéros.
Nous sommes sur une longue allée bordée de chaque coté par peupliers pyramidaux. Ces
peupliers comme si debout dans la garde d'honneur.
La mémoire doit être éternelle des soldats qui n'ont pas sauvé leur vie pour l'amour de la paix.
Il y avait beaucoup: 35 965 soldats tués à Stalingrad, ils sont enterrés sur le monticule.
La colline Mamaïev n'est pas seulement un monument, c'est un énorme charnier. Le
monument «Tenir jusqu’ à la mort». On voit une silhouette de soldat. D’ une main, il tient une
grenade et de l’ autre, une mitraillette. La sculpture a 16,5 mètres de haut, autour de la figure se
trouve le bassin. Il y a une croyance, si vous jetez une pièce dans l'eau, puis revenir ici. Allons
jeter une pièce de monnaie pour les heures quand nous sommes tristes ou heureux, mais on peut
tout simplement envie de rêver, nous retournerons ici.
"Les Murs ruines». Ils surgissent sur la colline comme s’ ils sortaient vriment de ces années
passes embrasées par la guerre. Des hautparleurs invisibles diffusent une chanson de l’ époque
de la guerre que tout Soviétique connaît: “Guerre sacrée”. Au milieu de tout ce bruit, on peut
distinguer des ordrеs, des appels à passer à l’ attaque, des rapports laconiques.
«Place des Héros»
Audelà des "Les Murs ruines» s`étend la Place des Héros, grande et solennelle. Au centre de la
place se trouve un grand bassin rectangulaire dont les eaux débordent comme les larmes du
peuple. Dans la partie gauche de la place, un mur ayans la forme d`un drapeau déployéet qui
porte l`inscription: «Un vent de metal les frappait au visage, mais ils avançaient toujours, et une
anxiété empreinte de superstition harcelait de nouveau l`ennemi: étaientce bien des homes qui
montaient à l`attaque, étaientils mortels?»
Dans la partie droite de la place il y a l`allée de 6 compositions sculptées de 6 m de haut est
consacrée au courage, à l`héroïsme des défenseurs de Stalingrad.
Les premiers temps après les combats, les tombes communes situées sur la colline Mamaïev
étaient entourées de terre nue. Au printemps 1943, à cet endroit, l`herbe ne poussait même pas à
cause des éclats d`obus, de bombes.
On peut voir le relief réalisé sur le mur qui clôt la place. Ce relief évoque les événements qui ont
couronné l`épopée de Staligrad. Le 9 mai 1970 on a scellé dans le mur portant le relief “L`offensive libératrice” une capsule contenant une lettreappel aux générations futures qui le 9
mai 2045, fêteront le centième anniversaire de la Victoire sur le nazisme.
Dans ce mur est aménagée une immense baie, sorte de portail rectangulaire qui évoque l`entrée
dans la Salle de la Gloire militaire. On entend en sourdine la poignante mélodie de la Rêverie de
Schumann. Les murs de cette salle sont revêtus de petits cubes de verre doré. De ses murs
semblent pendre 34 drapeaux sur lesquels sont inscrits les noms de 7200 soldats et officiers
morts pendant la bataille de Stalingrad. Ce n`est d`ailleurs là qu`une partie des noms de ceux qui
ont péri dans cette bataille. Au centre de la salle, une immense main levee tient une torche où
brûle la Flamme éternelle, symbole de la vie qui continue.
“La Place de Douleur”
Devant nous s`étale la Place de Douleur. En son centre se dresse le monument “La douleur de la
mère”. Une mère, penchée sur le corps de son fils, tué au combat, s`affige sur le sort de tous ceux
qui ne sont pas revenus de la guerre.
Plus haut que la Place de Douleur sont disposées des tombes communes. Ils sont ici 37 000,
défenseursde Stalingrad, parmi eux le Maréchal de l`Union Soviétique Vassili Tchouïkov, le
général Mikhaïl Choumilоv.
Un chemin serpente jusqu`au sommet de la colline et nous conduit au monument principal
du memorial “La MèrePatrie”. La statue fait 52 m de haut et en général 85 m. “La MèrePatrie",
c`est le pays tout entier levant contre l`agresseur le glaive du châtiment, qui, dans un élan
irrésistible, appelle ses fils à la suivre. L`ennemi a lancé des forces importantes dans la
bataille pour se rendre maître de cette hauteur qui était la clé de la ville. C`était le point où se
livreraient les combats les plus acharnés.
De l`esplanade qui s`étend au pied de la statue, la vue plonge sur Volgograd et la Volga.
Nous aimons beaucoup notre ville et nous n`oublierons jamais son passé héroïque. Используемая литература:
1. Воротилова С.В., Иванов С.М., Супрун В.И. и другие. Учебное пособие. Символы
Волгоградской области. М.: Глобус, 2008.
2. Национальности и национальные общественные объединения Волгограда.
Информационный справочник. Волгоград, 2008.
Проект "Наш Волгоград"
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